« … Au culte du corps, Gabriel Martinez oppose le corps-matériau par un travail sur la matière picturale. Tantôt, sa densité et son opacité masquent la chair jusqu’à lui créer une seconde peau impénétrable ; le noir est alors violent et profond. Tantôt, des effets de transparence dévoilent les imperfections d’une peau bien humaine. … »